** . . .: octobre 2006

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30 octobre 2006

Rébeh-K scéance 1 (suite)

Voici le reste de ma séléction de photos de la cholie Rebecca, posant décontractueusement, lors d'une scéance improvisée un jour de glandouillage àmacaze...

Le mois de juin... c'est bien. (proverbe confucianiste 12ème siècle)

26 octobre 2006

Ma Bouille

Ma bouille est chez Kek, aux côtés des bouilles de pleins d'autres bloggeurs...

Faut juste aller sur bouilles dans la barre de nav. en haut à gauche, et mes photos sont sur la page 131.

Juste pour info, hein pasqu'on s'en fout un peu en fait...

Autre chose : allez visiter le Gallodrome, y'a des t-shirts qui pètent et c'est ouvert à la créa... (un peu comme la fraise). D'ailleurs je pense tenter ma chance, j'ai déja une petite idée.
Voici quelques images tirées du Gallodrome :


22 octobre 2006

GalacticaaaaAAAaah !

Ils l'ont fait.
Ils se sont surpassés et ont réalisé un épisode aussi poignant que "Pegasus" et "Resurrection Ship"...
Je viens de voir Exodus (part 2), et c'est une énorme claque dans la gueule.
Je ne dévoilerais rien de l'intrigue par respect pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, mais bon dieu quelle merveille !
Je le répète au risque d'être lourd : Battlestar Galactica est à placer, aux côtés de Twin Peaks, Six Feet Under, Le Prisonnier, au panthéon des séries magistrales qui vous font pleurer de bonheur.

La suite je l'attends le sourire en bandoulière, et la larme à l'oeil.

N'ayez pas peur, les images ci-dessous ne sont pas tirées de la saison 3 (je vais pas vous faire ça tout de suite !)






































Bon, une petite image marrante en bonus...



toutes ces images proviennent du site français (officieux)

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19 octobre 2006

His Dark Materials

Du nouveau sur l'adaptation ciné de la magnifique trilogie de Philip Pullman "His Dark Materials" :

D'abord la mauvaise nouvelle : Chris Weitz est à l'écriture et à la réalisation du premier volet.
Le bougre est responsable de la série des American Pie (producteur); oui je sais ça fiche les chocottes !

Ensuite vient le casting :

Dakota Blue Richards .... Lyra Belacqua

Daniel Craig .... Lord Asriel

Nicole Kidman .... Marisa Coulter

Eva Green .... Serafina Pekkala

Adam Godley .... Pantalaimon (voice)
Nonso Anozie .... Iorek Byrnison (voice)

Ian McShane .... Iorek Byrnison (voice)

Eva Green en Serafina, pourquoi pas, ça peut donner...
Daniel Craig en Lord Asriel, euh oui faut voir, pasque c'est quand même le nouveau James Bond (même que l'ami Jengo me souffle qu'il jouait le méchant dans Tomb Raider...)
Nicole Kidman en Mme Coulter, bon bah oui elle a la classe mais perso je l'imaginais pas comme ça.
Le truc qui pête c'est Ian McShane en voix de Iorek l'ours polaire... Et Ian McShane c'est un énorme acteur (pour ceux qui ne connaitraient pas encore Deadwood d'HBO, c'est lui qui tient toute la série sur les épaules de son charisme).

Et en bonus je vous présente LA seule photo disponible de Lyra en plein tournage :

Sortie prévue le 16 novembre 2007 en Amérique et le 7 décembre en France... Patience les enfants, l'ami Potter ne sera plus qu'un vague souvenir !

infos : imdb

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18 octobre 2006

Pantalon de pyjaman !


klb 1999

Oreiller-Man !


klb / avril 2001

Tête de Zob-Man !

Bidulle Returns !

kaelbeh / juillet 2001

17 octobre 2006

Journal d'un Mort en Surcis (3 et 4)

La route semblait se construire sous mes pas tandis qu'une chaleur étouffante achevait

le déboisement du paysage.

Un turban autour de la tête, je me souvenais doucement de ces après midis de bohême,

quand le vent faisait voleter nos chapeaux et qu'il nous les rendait en fleurs.
Mais ma soif de souvenirs me passa, et je rouvris les yeux a la réalité.
Au détour d'un chemin, je rencontrais mon ombre.

Elle me chanta une histoire de tombeaux et de vide, et sa caresse éveilla

mon attention à son immaterialité.

Je la quittais pour, plus tard, mieux la retrouver; et posais inconsciemment le pied

sur le pavé d'une nouvelle ère dont les rues étaient si calmes qu'on les

eut dites désertes.
Cette ville s'appelait Mansquietude, et tous ses habitants étaient trilingues.
On y parlait courament l'argot, le néo-hongrois et l'endivique.

L'hôtel de ville en était une auberge, réputée quand-à-elle pour la bedaine

de Gros Joufflu, son tenancier.

Je m'assis à un coin de table aux faux airs de roue de chariot et commendais

une pinte de Sept-Lieux, l' alcool idéal pour se mettre dans l'ambiance du lieu.

Ma voix eut toutes les peines du monde à s'orienter dans le brouillard

qui tamisait l'espace.
Quand je retirais mes lunettes, qui s'etaient faites opaques au contact de l'air,

les murs se revélèrent d'un bleu sombre et les fumerolles blanches

se firent rouges écarlates.

Au bar était accoudé un vieil homme de grande stature qui parlait l'une des trois

langues avec le Gros Joufflu,

n'ayant de cesse de lui payer doubles Sept-Lieux sur triples Sept-Lieux.
Cette figure emblèmatique de la cause pour laquelle je m'étais tant battu,

s'appelait Tiburs De Resac,

mais à sa grande epoque, tout le monde lui préfèrait le doux nom de Tiburs

Merticulsiago; ce qui grossièrement signfie la même chose.

A ma vue, son visage s'illumina tant qu'il en était encore capable.

Je rejoignis les deux hommes en trois grandes enjambées de chaises et de roues

de chariot, pour atterrir à leurs côtés, harassé mais serein.

Mon grand ami Tiburs m'invita à partager sa bouteille, et nous parlâmes

durant de longues heures du bien-fondé de nos vieilles théories.

Quand vint l'aube, je baignais dans une semi-conscience intemporelle qui allait s'achever brutalement, alors qu'un rayon de Soleil égaré me perça l'oeil

et que je m'ecroulais sur ces planches ancestrales, anéanti par le poids

de mes pensees.


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Quand je pus enfin relever la tête, je m'apercus que cette auberge,

théatre de ma décrépitude, était désormais vide et rongé par les années.
Ma première envie fut de fuir le plus loin possible, sans rien chercher à comprendre

d'autre que les raisons de mes déboires.
Une fois la porte du saloon passée, je me rendis compte que l'endroit n'était

ni une auberge, ni un saloon, car sur une enseigne garnie d'une pléiade de néons

névrosés qui se débattaient pour en égayer la surface, on pouvait lire :
"Faites bien attention avant d'agir !

Le seigneur est avec vous quel que soit votre pêché !"
Calmement en moi-même, je me répêtais les derniers mots de mon oncle Fusibalde

que personne sinon moi n'avait entendus :
"Je suis un marin mais pas le capitaine...
Remplis ta coupe de mon sang et rinces-toi le gosier avec, petit sacripant !"

II était comme ça mon oncle Fusibalde...
On n'a pourtant jamais retrouvé son corps après qu'il eut mis le feu à sa baignoire.

Puis je me ressaisis et repris le chemin du Libre arbitre sans repenser aux évènements

affligeants de la veille.

Ma petite promenade nocturne dans les ruelles capitonnées de la ville n'était pas

des plus réjouissante, car la route que j'empruntais alors ne laissait devant elle

qu'un espace sans la moindre ouverture.

Je me tenais debout au milieu de deux paroies sans faille

dont aucune issue n'émergeait.

Il n'y avait là aucun recours à mon isolement.

La prudence me poussa en avant et je trébuchais.

Anéanti par ma condition, je me recroquevillais sur la terre moite et mouvante

pour mieux contempler la démence de la situation.

Après plusieurs heures d'une attente que j'aurais voulu salutaire, je me levais

d'un geste désarticulé pour montrer à ce monde qui m'en voulait tant,

quelle pouvait être ma force.
J'entamais alors une lancinante danse macabre que le désespoir m'avait inspirée.

Me jetant sur les murs la bouche en coin, je me débattais dans l'immensité

en tambourinant sur ce crâne que mon esprit avait trop longtemps habité.

A la fin de la représentation, je n'oubliais pas de saluer la foule dont chacun

voulait être dissocié.
Les murs s'effondrèrent, et la neige de juin coula à fots.

Plusieurs flocons s'étaient posés dans le fond de mon encollure.

Ceux-la ne fondirent pas mais se changèrent en pierre.

Une voix faible et divinement calme s'éleva dans l'aube aux lueurs blanches pour dire :
"Qui porte le savoir de la mort et de la renaissance en lui,

rend impossible l'entente du floral avec les alambics de son tourment."
Ainsi , je fermai à nouveau les yeux et me mettais à rêver au divin et a l'infini.


klb. juin 1998

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16 octobre 2006

Pom pom pom pomme

J'ai acheté une nouvelle pomme de douche tout-à-l'heure. Oui parce-que attention hein ! J'ai jamais dit que Kaelbehland était reservé au délire facile, aux enfantillages à 2 kopeks... c'est aussi fait pour dire des choses importantes pour le salut de l'humanité. Donc oui, j'ai acheté une nouvelle pomme de douche. Celle qui était livrée avec l'appart commençait à sérieusement me gonfler. Elle ne semblait pas avoir bien prit mon passage à l'eau chaude. Je me prenais des jets d'eau de tous les côtés et même mon rideau de douche (qui est pourtant assez balèze) n'arrivait pas à contenir l'hemoragie.
Vieille pomme toute pourite >


Donc en passant devant la droguerie du coin de ma rue je me suis dit : "Vas-y lances-toi; l'occaze ne se représentera peut-être plus jamais." Et là je ressors 2 minutes plus tard avec une magnifique pomme de douche en marbre laqué pur porc !

Voila, c'était mon histoire.
J'aime les petits commerces qui ont l'air de faire partie du quartier depuis plusieurs générations.
La droguerie c'est un truc que je kiffe gravos.
Je suis tellement flarr que je la montre à tout le quartier

14 octobre 2006

Journal d'un Mort en Sursis (1 et 2)

La matinée était a peine entamée et déja j'entendais sonner dans la moiteur des beaux jours de juin, le glas de la liberation bachelière.
Dans tout mon être se ravivait la flamme de ces temps benis où le mot examen sonnait à nos oreilles comme l'inconnu aux portes de la perception.
Sergio Krokobar traversa la rue de long en large...
Il cherchait la direction de ses pas.
Je le regardais en riant et il m'aperçut à son tour.

On l'appelait aussi Touffe Pomponnante, car un épi etrange dans ses cheveux donnait chance et confiance en soi à n'importe qui le tordait.
Il me rejoignit et me salua de trois vives courbettes.
Des lors, un roulement de tambour se fit entendre au loin sur l'avenue. Une farandole de nains expressionnistes est-allemands se dirigeait vers l'abreuvoir à chevaux.
Je leur fis signe de la main et ils comprirent que leur vie entière se déroulerait desormais de l'autre côté du passage pietons. Un phacochère aux faux airs de saint-bernard les accompagna vers un futur de plus en plus proche. Ils s'assirent tous en cercle concentrique et recitèrent des cantiques peruviens contre le rétrecissement de la planete.
Une tranchée béante s'ouvrit au coeur des nuages...
Les feux de circulation se firent bleus, blancs, puis noirs.
Toute vie s'arrèta; tout bourdonnement se fit silence...
A cet instant, ou peut-être deux à trois minutes plus tard, un rayon lumineux d'origine inconnue descendit sur nous autres.

Il stoppa net sur Sergio Krokobar qui lui sourit avec acharnement.
Le rayon s'énerva et Touffe Fomponnante se mit a leviter.
11 monta et monta, toujours plus haut dans le ciel jusqu'a ce qu'il ne soit plus qu'un point de rien dans l'immensité galactique.
Il fut emmené au paradis de ceux qui se cherchent et plus personne ne le revit.

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Le lendemain je sautais du train en marche et m'avançais dans les étendues desertiques de ma terre natale. Le ciel était vert et une certaine lueur dans la fumée faisait des ombres nuageuses.
Je laissais les corbeaux à leurs croassements pour mieux applaudir les assauts du grand Automne, ses nuages bas et ses feuilles tourbillonnantes.
Nous étions fin juin et déja dans mon coeur se retournait le souvenir de cette saison qui avait fait de nous des fous et des grands degarnis...
Plus je baissais les yeux, plus le sol était plat.
Je me mis la tête dans une alvéole de caillasse rouge et m'endormis aussitôt.
Le bleu de la nuit me réveilla dans un ambigu contraste.

Le mélange des genres accompli, je pouvais me laisser envahir par l'oxygène ambiant et suivre la lente dilapidation de mon cerveau.
Puis la plaine grandit, et je montais en haut de la tour pour mieux en concevoir l'espace.
L'horloger me tendit l'oreille et je m'appliquais à la lui prendre des mains.
Je le regardais de plus près et vis que c'était une grande femme à barbe blanche.
Je lui demandais :"C'est une vraie?"

Elle me répondit :"Non, pourquoi vous aurais-je donné ma vraie oreille ?
Celle-ci n'est qu'une façade car celle que vous cherchez est a l'intérieur."
Je lui dis tout confus :"Il y a méprise, je vous parlais de votre barbe."
Et elle de me répondre :"Celle-la est vraie, ça vous dérange ?"

Je respirais un grand coup et lui serrais la main
avant de m'enfuir vers des cieux plus prometteurs.

klb. juin 98

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13 octobre 2006

... Et la police pas assez pleine de malice

klb. novembre-98

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L'Iroquois était trop benêt

Il ne s'en souvenait pas, mais pourtant il était benêt.

Le mot d'ordre des prêtres était de frapper en dessous de la ceinture . . . Telle était la marque du Destin.

Malgré tout le vacarme que faisait le bourdon derrière son oreille, l' Iroquois fit battre ses bras de plus belle :

La fumée s'epaississait.

"Lâche cet ongle, il est mort...", lança de vive voix Charles Ducreuburgist-inéon, commissaire de police
involontaire dépêché sur les lieux du drame.
Lui-même trop undifférent à l'histoire, il répétait pensif à qui voulait l'entendre
que son trip à lui c'était le fenouil et qu'aucune affaire criminelle aussi surréaliste soit-elle
ne pourait rien y changer.

C'est pourquoi le commissaire Charles Tibalt Ducreuburgist-inéon (comme seule sa mère s'attardait
à l 'appeler), aimait à s'entourer d'une solide équipe de bras droits lors de ses enquêtes.
On se souviendra longtemps dans la police Killimantinoise de ces défilés
grand-guignolesques où les bras droits du commissaire se piétinaient littéralement
les uns les autres à grands coups de bras gauche pour tendre le droit en signe de raliement
à leur saint patron, le tout dans une chorégraphie patibulaire qui ne revalorisait en rien les forces de police
municipales aux yeux du peuple.

Pendant ce temps, l' Iroquois, que tous persistaient à croire trop benêt, gardait le sourire.

En se prêtant au jeu de l'oreille, on pouvait l 'entendre chanter à tue-tête, tout perché qu' il était au clocher
du plus rudimentaire des monastères Bulbiques de Killimantinorinanana.

Il n'avait de cesse de s'amuser, tout heureux que le temps passe sans lui demander la permission.

Le jour, cet unique indien du village s'extasiait le temps d 'une étourdissante cacophonie lointainement
inspirée de l'orchestre du Père Esponéo et de son quintette à cordes en boyaux de chats noirs.
La nuit, quand la Lune pointait sa face pâle et blafarde, il se plaisait à hululer son désarroi
en sautillant de gargouille en gargouille. Et quand il pleuvait... Ah ! Quand il pleuvait, il ne pouvait
s'empêcher de regarder vers les prairies au loin sous la brume. Là-bas se maintenait le souvenir de sa tribu,
celle qu'il avait quittée pour venir en ville.

Et son coeur riait en regardant ces gens affolés de le voir seul perché au sommet de sa nef.

Un jour pourtant, plus personne ne le vit, l' Iroquois trop benêt qui les intriguait tous.

Et ni le commissaire Ducreuburgist-inéon, ni aucun de ses énigmatiques bras-droits ne surent
ce qu' il était advenu de lui.

Car l' Iroquois n'était pas plus benêt que vous et moi, bien au contraire.

Il sut que son voyage initiatique dans la grande ville de Killimantinorinanana était arrivé à son terme...

Et seul, il était reparti comme il était venu, vers la terre humide et verte de ses ancètres.


Hélas, une anomalie dans un brun d' herbe lui fit baisser le regard :

Ce brun d' herbe était blanc !



klb. 7-11-98

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12 octobre 2006

Palais Ramal

J'ai toujours aimé cet endroit.
Le Palais Rameau est un drôle de bâtiment. On a comme l'impression que personne ne sait vraiment à quoi il sert. Tout petit, je me souviens y avoir passé une journée entière pendant une expo de ma mère... courir partout, explorer un endroit comme celui-là c'était quand-même la classe dans ma tête de môme.

Il me semble aussi que le cheval de manège que j'ai toujours connu dans la maison de mon père, a été récupéré dans les caves de ce bâtiment... Une sorte de monde clos fantasmagorique quoi.
En plus c'est à 5 minutes à pieds de macaze !

11 octobre 2006

To be continued...

Donc Battlestar Galactica a repris et c'est toujours la grande classe... Tant mieux ! Ils arrivent même à donner un nouveau ton à la série bien sombre, avec un minimum d'effets spéciaux, et ça on ne le voit pas partout.

Il y a une nouvelle série qui déboule en ce moment en Amérique : Heroes que ça s'apelle.


Bon, et ça commence très fort. La qualité d'écriture, de réal (bien-sûr) et l'athmosphère sont impressionnants... ça rapelle un peu le Lost des débuts (niveau inventivité, budjet, maitrise technique) mais en plus subtil.
L'histoire avance lentement mais on ne reste pas sur sa faim. Y'a une bonne pelletée d'idées lumineuses par épisode, et puis cette mise en place des personnages qui accroche vraiment fort.
Evidemment y'en a qui paraissent moins intéressants que d'autres mais ça passe encore.

Et là je vais voir sur le site officiel et qu'est-ce que je découvre ?
C'est co-produit par Sci-Fi : la chaine qui nous livre BSG !
Alors on dit chapeau bas msieurs dames les producteurs, vous avez la gagne en ce moment...

Affaire à suivre donc : Tout bi continuède.

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09 octobre 2006

Nocturne


kaelbeh / 23 juin 05
merci à Perrine, mon modèle songeur.

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Moune & roufe-taupes

Quelques photos prises samedi vers 4h... sous l'impulsion du moment.

Merci Chloé pour l'inspiration. C'est décidé je me remets sérieusement à la photo.

08 octobre 2006

Photoyz

Bon beh on revient du parc où on a fait une tite scéance de rattrapage de photos de mariés avec Lili Juju et Lulu.









Everything ends

Puisque je me suis lancé sur les séries télé, dirigeons-nous sans attendre vers la plus classe de toutes...
Je me suis fait une cure de Six Feet Under, y'a pas longtemps, et il faut que vous le sachiez : c'est grandiose !


Donc pour les malheureux qui ne connaitraient encore rien de ce petit bijoux de la télé, je résume...
Dans cette série de HBO, on suit sur 5 saisons la vie et la mort d'une famille de croque-morts américaine, et en gros voila, c'est tout... Mais je veux dire c'est TOUT !
Parce-que tout est dit dans cette série. On échappe complètement aux clichés, aux conventions télévisuelles, et même à la censure. Les acteurs sont évidemment excellents, mais le plus marquant, reste l'écriture, très proche de la vraie vie, et la réalisation, tellement soignée que la série n'a rien à envier au cinoche (ça commence à devenir une habitude avec HBO), au contraire, la dimension sériale nous ammène plus près des personnages qu'un film ne pourrait le faire en 2h.
Donc, c'est du bonheur à tartiner, même quand la mort est partout, on est si bien portés par l'émotion réelle dégagée par les situations et les personnages que tout est grandiose...



Et comme je le disais, l'écriture est tellement léchée qu'on est souvent pris au dépourvu et donc fort surpris par le "dénouement" d'un épisode...
Donc voila pour la présentation sommaire. Je suis tellement gaga que j'ai commencé à rassembler l'ensemble des morceaux de musique entendus dans les 5x12 épisodes pour aboutir à l'intégrale musicale de la série. A raison d'une petite dizaine de morceaux par épisode ça fait du taff (merci IMDB)
Et puis pour finir ce post en crânant, je signale à ceux qui ne sont pas encore au courant que j'ai le coffret de l'intégrale, hé oui !


Donc pour ceux qui voudraient en profiter, je prête bien sûr mais il y a déja la queue devant mon armoire à dévédés (n'est-ce po Lilifa ?)






Sur ce, bon visionnage si je vous ai convaincus !

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