** . . .: décembre 2006

. . .

27 décembre 2006

Kaelbeh-man épisode 1

Tous les faits réels racontés ci-dessus sont inspirés de faits réels
qui ont vraiment eu lieu.

26 décembre 2006

L'Amour des Feux de la Gloire et de la Beauté

Le jus d’orange était posé sur la table; la moustache de Victor en était encore tout humectée.
Il fronça les sourcils bruyament, sortit en courant, et percuta Nina qui avait peur de la réaction de Ryan quand il saurait qu’il est ici; par ailleurs Russ était très complice avec Scotty.
Le verre de jus d’orange qui était resté seul s’ennuyait ferme. C’est alors que Ryan, faisant mine d’être essouflé,se passa la main dans les cheveux...
Le nounours de la pub Cajoline qui n’avait rien comprit du tout se noya dans ses draps en criant au scandale. Et celle qui voulait sa balance extra-plate rit avec ardeur.
Le jus d’orange faisait des bulles.
Alors que Douglas insistait, une nouvelle ride poussa sur le front de Victor.
Les goutes tombaient sur la moquette...
Chaque minute qui s’ecoulait rapprochait Lauren de son destin. Dommage car la vieille allait rater son emission favorite; c’est alors que Ryan voulut offrir un jus d’orange à Nina, mais heureu­sement, celle-ci préfèra un beignet au fromage...Ouf ! soupira le jus d’orange dans ses bulles.
Tracy est une femme formidable, dit Ashley qui y croyait intensé­ment. Sa feuille de papier machine à la main, Victor s’énervait pour un motif qui lui était totalement inconnu. Victor n’en pouvait plus, il décrocha le téléphone, composa le numéro de son ex-femme, dit ‘‘merci Miguel’’ et raccrocha.
Le verre de jus d’orange était vide...
La superbe et entrainante mélodie du générique de fin conclut divinement l’ascention de ce suspense féerique; alors que, dans l’ombre, Dallas s’approchait a grands pas...

klb et Alousse 1996

Libellés :

18 décembre 2006

S'il cherchait pour du trouble...

Pas trop le courage d'écrire en ce moment. J'ai essayé d'assembler mes boyaux de la tête pour résumer mes préoccupations en 1 image...
Voila ce que ça donne
:


Je sais c'est assez old school comme montage (une sorte de Ray Gun vs Dave McKean du pauvre, vachement nineties et bien sombre comme on n'en fait plus) mais c'est tout ce qui est sorti de ma caboche. Et puis je l'ai fait vite et pour moi c'est rare !

12 décembre 2006

Tout bô, tout chô...

Ayyyyééé !

J'ai mis en ligne mon site lifté, flashouillé, avec des belles galleries pleines de boulots qui fouètent.
Et grâce en soit rendue au dieu de la compression : mes ptits films sont là aussi ! (mais pas tous hein)

Evidemment y'a encore pas mal de petits trucs à règler (la navigation devrait être "on release" plutôt que "à la pression" par exemple; quoique maintenant que j'y pense, une ptite pression n'a jamais fait de mal) les liens morts et tout le tintouin je verrai ça demain.

En tout cas je suis flarr comme une crotte d'y être arrivé tout seul !
YEAH !
C'est ça la puissance intellectuelle : bac+3 les enfants...

10 décembre 2006

Quand je serai grand...

Oui bon, je l'ai déja posté celui-là mais il me plait.
Et puis je suis chez moi et y'a personne qui me visite alors...

Libellés :

09 décembre 2006

Plus tu bois... plus tu gueules !

Oui alors bon.
Hier au soir, on s'est rendus Lili, Juju, Lulu et moi, à un concert de hurleurs au musée de la piscine de Roubaix.
C'est assez unique comme style musical.
Une trentaine de finlandais débarquent tout en costard en marchant au pas, et se placent en 3 rangs, dans ce cadre bien chicos au bord du bassin du musée.
Très sérieusement, le chef d'orchestre (ou conducteur, je sais pas comment on dit) s'avance, salut, et annonce le premier titre :
"Flodoboysk Dahurst Eln Affleburkstek Meuglo"
Ah bah oui très bien.
Et là ça commence : dans ce qui ressemble tout d'abord à une cacophonie de beuglements, les 30 hurleurs sortent leurs trippes.
Le public c'est évident a une première réaction : rire.
Et c'est vrai qu'après 3 ou 4 "chansons" on se poile encore pas mal.
Faut dire qu'ils en rajoutent pas mal les gars.
Donc pour ma part, sur une petite heure de concert, je suis passé de la poilade, à une sorte de fascination, et puis une petite lassitude, pour enfin revenir à la poilade.
Parce-qu'évidemment ils ne se prennent pas au sérieux malgré leurs grands airs.
Il chantent pas mal d'hymnes nationaux mais alors faut vraiment s'accrocher pour reconnaitre ceux qui vous seraient familiers, vu qu'ils sont réinterprétés (sentez l'euphémisme).
Bien sûr tout ça tourne complètement en dérision le nationalisme et toutes les sortes de fanascismes.
Un des morceaux qui m'ont fait le plus marrer : La constitution europpéenne article 11 paragraphe 68b.

Pour les curieux, voici un lien vers leur site.

03 décembre 2006

tu regardes BSG... et tu pleures

Bah oui.
Parce-que cette semaine les auteurs de Battlestar Galactica ont réussi un nouveau tour de force.
Un épisode sans vaisseaux spatiaux, sans explosions, sans robots mitrailleurs; mais un grand moment dans la série.
Dans Unfinished Business (saison 3 - épisode 09) les personnages règlent leurs comptes, et on en apprend d'avantage sur certains évènements qui ont eu lieu pendant l'année elliptique de la fin de la saison 2.
Et c'est très fort.
Parce-que depuis maintenant 42 épisodes + 1 pilote de 3h, on a appris à aimer ces personnages complexes; qu'on les a vu dans des heures sombres, des situations délicates, des moments de doute, des moments de délires légers, héroiques, culpabilisant, trahissant, pleurant, vivant dans cet univers science-fictif d'un réalisme jamais vu...
Alors oui, finalement ce n'est pas si dur que ça de nous scotcher devant nos télés sans montrer de scènes à grand spectacle, juste en mettant en scène leurs souvenirs et leurs remors.
Encore bravo et merci, vraiment msieurs dames les auteurs de BSG, de nous faire passer de si bons moments de divertissement !

Libellés :